Présentation de la commune
Géographie
Aux portes de la Bretagne, du Maine, de l’Anjou et de la Normandie, le Pays de Vitré se situe dans le prolongement de l’autoroute de l’ouest et est à proximité de l’autoroute des Estuaires. Comme dans l’ensemble du département d’Ille et Vilaine, les communes du Pays de Vitré sont accessibles rapidement grâce aux voies express.
Par la route : autoroute A11 ou voie express (Paris : 2h15, Rennes : 45 mn, Vitré : 15 mn, Laval : 20 mn)
Par Avion : Aéroport de Rennes Saint Jaques (tél. : 02.99.29.60.00) www.rennes.aeroport.fr
Par le train : TGV Laval – Paris : 1h30 www.sncf.com
Commune : Le Pertre (35370)
Canton : Vitré – Fougères
Circonscription : Rennes
Département : Ille-et-Vilaine (35)
Région : Bretagne
Histoire de la commune
LE PERTRE (du latin Pertrum signifiant Pays de la pierre) remonte au moins au Xe siècle.
D’ailleurs, des découvertes de sarcophages de calcaire coquillier, faites au début du XXe siècle, attestent une occupation à l’époque Mérovingienne. Le Pertre existait certainement dès l’époque gallo-romaine, placée au carrefour de la voie du Mans à Rennes et du chemin de Cocaigne.
La découverte faite vers 1990 près du bourg de nombreuses meules à céréales peut même indiquer une occupation gauloise. Le Pertre avait, dès le XIe siècle, un prieuré dépendant de l’Abbaye de Saint Jouin de Marne en Poitou. Il prétendait tirer son origine d’une abbaye fondée par le roi Clovis II, au milieu du VIIe siècle. La seigneurie du Pertre dépendait de la baronnerie de Vitré.
La commune comprend, de l’Est à L’Ouest, l’ancien « chemin des Saulniers ». Du nord au sud, une voie romaine présumée du Cotentin vers la Gascogne, dite « Chemin de Cocaigne » et aussi « Chemin des Saulniers ». Elle servait de passage entre l’Ille et Vilaine et la Mayenne, sous forme de chemin vicinal, depuis Bourgon jusqu’en forêt du Pertre (environ 9 km). La paroisse a été ruinée par les anglais en 1442.
Etymologie du nom « Le Pertre »
Le nom « Le Pertre » doit son origine à un vieux mot gallo-romain signifiant « pierre » ou « pierreux », « Perha », « perhum » ou quelque mot similaire. L’existence de deux voies romaines, se réunissant d’un village à l’autre et se séparant au bourg pour aller du Nord au Sud et de l’Est à l’Ouest rend cette supposition probable.
Dans nos régions, les voies romaines, peut-être réparées au temps de la Reine Brunchault furent restaurées par Roland, préfet des marches de Bretagne. Après la mort de Charlemagne, l’une de ces voies, celle qui va du Nord au Sud, devient la frontière bretonne, depuis Le Pertre jusqu’à Louvigné du désert. Mais plus tard, sans doute vers la fin du IXème siècle, la Bretagne fut ramenée à ses limites actuelles, du moins dans notre région, car après le décès du Grand Empereur, les rois bretons avaient relevé la tête et refoulé les Francs en élevant leur royaume jusqu’à la Mayenne.
Vitré Communauté
La commune de Le Pertre est l’une des 46 communes de l’EPCI (Etablissement public de coopération intercommunale) Vitré Communauté. Ce rattachement permet de proposer un certain nombre de services aux usagers, en terme de transport, d’urbanisme, d’informations jeunesse, …
Pour plus d’informations, consulter le site de Vitré Communauté
Cartes et plans
Présentation économique
Retrouvez sur le site de l’Insee le dossier complet de la commune